Partout, on n’a cessé de lire que la consommation de viande était une grande menace pour la planète, qu’il était mauvais de tuer et de manger les animaux… Mais voilà, la nature de l’homme, c’est d’être, même un tantinet, carnivore. Quoi qu’il en soit, les omnivores que nous sommes ne sont pas insensibles aux effets négatifs de consommer « trop » de bœuf, de porc, de poulet… Alors, on observe quelques règles, voire quelques modifications à notre façon d’ingurgiter cette denrée.
Consommation de viande : la tendance à la baisse se poursuit.
On sait que la consommation de viande est en constante baisse en Hexagone depuis plus de 10 ans, même si la tendance semble ne pas changer dans d’autres pays comme les États-Unis, la Chine, mais surtout les États en développement… Et les Français, eux, restent toujours les petits consommateurs de viande qu’ils ont toujours été. Mais la viande, personne ne s’en passera vraiment !
La mode à la viande light.
Plutôt que faire l’apologie ou l’éloge au vegan, bon nombre de carnivores apportent leur contribution à mettre du « rationnel » dans leur façon de consommer de la viande. Mais en fait, il s’agit toujours et tout juste de s’orienter un peu plus vers la denrée légère. Le choix est toujours vaste pour ce qui est de la viande maigre : faux-filet, onglet, tende de tranche chez le bœuf et le cheval, le filet mignon ou l’escalope chez le porc et la volaille. Les consommateurs de viande modernes proscrivent autant que possible : la peau de volaille, l’agneau ou les morceaux visiblement gras…
Beaucoup mangent juste, équilibré, sain et varié.
La gastronomie française est si vaste et si astucieuse que même en mangeant les parties grasses des viandes, les consommateurs sont assurés d’y trouver confort et santé. À la cuisine, même si la mode barbecue est sans conteste toujours omniprésente, beaucoup de ménages adoptent un peu plus aujourd’hui les modes de cuisson du terroir.
