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Les étapes pour devenir boucher

Convivial, astucieux, fin cuisinier, adepte de la bonne recette du terroir… le boucher est un des artisans qui ont le plus le devoir de susciter la confiance de la clientèle. Le métier est aussi assez dur, puisqu’il faut aussi vendre debout, avec un peu de criées de temps en temps, faire preuve de précision à la découpe… La filière manque d’ailleurs cruellement de relèves. Pour ceux qui sont tentés.

L’entrée en matière.

Après l’obtention d’un CAP spécifique, le prétendant peut déjà passer un stage d’apprentissage chez son « paternel » ou à la boucherie du coin. Mais s’il préfère, il peut aussi approfondir ses connaissances par le biais d’une formation de 2 ans sanctionnée par un brevet.

Apprendre, encore et toujours.

Comme dans tout métier, c’est la connaissance du milieu et du produit qui fonde l’expertise. En premier lieu, c’est l’anatomie de l’animal qui doit être maîtrisée en plus du maniement des ustensiles du boucher… En même temps, la connaissance parfaite des règles d’hygiène et sanitaires est primordiale.

Savoir vendre avec un peu de notions de cuisine.

Ce n’est pas uniquement la connaissance de son milieu qui fera de l’apprenti boucher un expert, c’est sa connaissance du milieu des consommateurs. Pour être en phase avec les besoins et les attentes des clients, le bon boucher doit assimiler un peu des principes de la cuisine et des méthodes de cuisson. Sans prétendre devenir un cordon bleu, il aura un minimum de savoir-faire en termes de gastronomie.

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