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Le goût du lapin

Autant que la viande de bœuf, de volaille ou de porc, le lapin a toujours constitué un mets de premier ordre dans la gastronomie européenne. Assurément sujette à controverses, la consommation de cette viande n’est pas moins avantageuse que ce soit en termes de saveur ou d’apport nutritionnel.

Santé et plaisir gastronomique assurés.

Différemment du bœuf ou de l’agneau, le lapin est monogastrique. Ce qui fait que sa chair est pauvre en graisse (en lipide). Mais riche en acide linolénique et en oméga-3, la viande lapine contribue à l’abaissement des taux de cholestérol. Un bon atout donc pour se protéger des maladies cardiaques. Le lapin offre aussi une bonne quantité de protéine. Mais il se distingue surtout par un apport intéressant en fer héminique facilement assimilé par l’organisme humain. Sans compter une bonne dose de vitamines B.

Côté goût, compte tenu de sa maigreur (surtout au niveau de la cuisse !), la viande de lapin a une saveur claire et une texture tendre, comme le poulet. Elle se cuisine facilement et permet une grande diversité de recettes.

Comment tirer le meilleur du lapin ?

Rappelant que  la viande lapine est tendre par nature, ses nutriments se conservent mieux par cuisson lente. Mais quoi qu’il en soit, tous les modes de cuisson sont possibles avec ce produit. En d’autres termes, si la mise au four (rôti avec lard bien sûr !) et un mijotage longue durée sont évidents pour certains, d’autres préféreront du poêlé de lapin ou une partie de barbecue, pour déguster après 15 minutes maximum.

Pour un grand nombre de chefs, le lapin en papillote est une des méthodes les plus efficaces aussi bien pour préserver ses qualités nutritionnelles que pour exhausser sa saveur. Bien sûr tout le monde ne sera pas d’accord. Certains, plus originaux, inventent du tartare de lapin !

La table des éleveurs vous propose le lapin entier découpé en morceaux

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