Les joutes d’idées se poursuivent concernant ce thème si cher aux écologistes, aux adeptes du végétalisme… On ne passe aucune page de Google sans que quelques sites ne dénigrent l’une des plus nobles des denrées de tous les temps, la viande. Comme toujours, on lui attribue une suite de méfaits sur la santé humaine. Avant, les études menées évaluaient et confirmaient généralement des « risques » plutôt que des faits avérés. D’autres révélations récentes ?
En gros, la viande est-elle vraiment mauvaise pour la santé ?
Dans la plupart des magazines qui militent pour l’éradication de la viande de l’alimentation humaine, on lit souvent ce type de phrase : « la surconsommation de viande tend à rehausser le risque de… ». Que peut-on y remarquer que l’usage de certains mots donnant à la phrase un poids relatif. Si on reformule cet énoncé, ça donne ceci : il ne faut pas abuser parce ça pourrait… Or, tout ce qui est abus est forcément nocif, et un risque n’est pas encore un fait.
C’est dire d’un petit manque d’informations sur les impacts réels de l’ingurgitation de produits carnés sur la santé. Par contre, on ne peut nier que les produits transformés ont un impact plus probable sur la santé humaine, du fait de l’introduction de produits chimiques divers et des conditions de production. Mais là aussi, le caractère dangereux de la denrée amène à considérer d’autres paramètres, comme sa provenance ou le mode d’élevage par exemple.
Que manger plus et que manger moins ?
Rien ne vaut l’équilibre, quitte à se faire aider par un diététicien. La quantité quotidienne juste de viande varie bien entendu d’un spécialiste à l’autre, allant de 75 g ou 150 g par semaine, à 100 g par jour au maximum. Mais il faudrait également balancer la consommation de viande blanche et de viande rouge. La première « serait » moins nocive que la seconde.
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